Titre : |
Ici on noya les Algériens : La bataille de Jean-Luc Einaudi pour la reconnaissance du massacre policier et raciste du 17 octobre 1961 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Fabrice Riceputi, Auteur |
Mention d'édition : |
2ème |
Editeur : |
Constantine [Algérie] : Media-Plus |
Année de publication : |
2021 |
Importance : |
284 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-9947-43-060-6 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Paris, 17 octobre 1961, 20h30. A cinq mois de la fin de la guerre d'Algérie, des dizaines de milliers d'Algériens, hommes, femmes et enfants, manifestent pacifiquement contre le couvre-feu qui leur est imposé par le préfet de police Maurice Papon. La répression est d'une violence inouïe : onze mille personnes sont raflées, brutalisées et détenues dans des camps improvisés. Plus d'une centaine sont "noyées par balles" dans la Seine. Pourtant, le lendemain, les rapports officiels ne font état que de deux morts.
Face à ce mensonge d’État, un "simple citoyen" se fait chercheur. Il s'appelle Jean-Luc Einaudi. Pendant trente ans, ce "héros moral" surmonte les obstacles - omerta, archives verrouillées, procès...- pour faire connaitre et reconnaitre le crime d’État. C'est cette bataille intellectuelle, judiciaire et politique que retrace Fabrice Riceputi dans un récit documenté et passionnant.
Un combat à poursuivre à l'heure où la République s'obstine à refuser de regarder en face l'héritage raciste de la colonisation et où les violences policières continuent à se perpétrer en toute impunité. |
Ici on noya les Algériens : La bataille de Jean-Luc Einaudi pour la reconnaissance du massacre policier et raciste du 17 octobre 1961 [texte imprimé] / Fabrice Riceputi, Auteur . - 2ème . - Constantine [Algérie] : Media-Plus, 2021 . - 284 p. ISBN : 978-9947-43-060-6 Langues : Français ( fre)
Résumé : |
Paris, 17 octobre 1961, 20h30. A cinq mois de la fin de la guerre d'Algérie, des dizaines de milliers d'Algériens, hommes, femmes et enfants, manifestent pacifiquement contre le couvre-feu qui leur est imposé par le préfet de police Maurice Papon. La répression est d'une violence inouïe : onze mille personnes sont raflées, brutalisées et détenues dans des camps improvisés. Plus d'une centaine sont "noyées par balles" dans la Seine. Pourtant, le lendemain, les rapports officiels ne font état que de deux morts.
Face à ce mensonge d’État, un "simple citoyen" se fait chercheur. Il s'appelle Jean-Luc Einaudi. Pendant trente ans, ce "héros moral" surmonte les obstacles - omerta, archives verrouillées, procès...- pour faire connaitre et reconnaitre le crime d’État. C'est cette bataille intellectuelle, judiciaire et politique que retrace Fabrice Riceputi dans un récit documenté et passionnant.
Un combat à poursuivre à l'heure où la République s'obstine à refuser de regarder en face l'héritage raciste de la colonisation et où les violences policières continuent à se perpétrer en toute impunité. |
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