Titre : |
Petit pays |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Gaël Faye, Auteur |
Editeur : |
Paris : Le livre de poche |
Année de publication : |
2017 |
Importance : |
219 p |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Afrique Guerre Enfance |
Résumé : |
Je ne sais vraiment pas comment cette histoire a commencé" prévient le narrateur dès la première page. Nourri de "réminiscences d'enfance", ce roman raconte l’histoire de Gabriel. Un garçon de 10 ans qui vit dans un quartier résidentiel de Bujumbura, une impasse protégée où on grandit parmi "des gens de maison", où vivait une classe moyenne privilégiée, couples mixtes, diplomates africains, vieux expatriés et où on va au Lycée Français. La guerre vient mettre fin à cet univers paisible et bouleverse l’enfance heureuse de Gabriel. C'est plus précisément le récit des deux années 1992 et 1994, pendant lesquelles le garçon, entre ses 10 et 12 ans, voit basculer son existence. De sa hauteur d’enfant, Gabriel s’interroge sur les "silences et les non-dits des uns, les sous-entendus et les prédictions des autres. Il y avait des fractures invisibles, des soupirs, des regards que je ne comprenais pas". Petit pays raconte la guerre mais aussi la découverte des identités ethniques, des assassinats, des déplacements et des conflits qui divisent la ville en "quartiers hutu" et "quartiers tutsi". Puis il y a la blessure de l’exil, celle de la séparation, les réfugiés et le génocide. "Le génocide est une marée noire, ceux qui ne s’y sont pas noyés sont mazoutés à vie |
Petit pays [texte imprimé] / Gaël Faye, Auteur . - Paris : Le livre de poche, 2017 . - 219 p. Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Afrique Guerre Enfance |
Résumé : |
Je ne sais vraiment pas comment cette histoire a commencé" prévient le narrateur dès la première page. Nourri de "réminiscences d'enfance", ce roman raconte l’histoire de Gabriel. Un garçon de 10 ans qui vit dans un quartier résidentiel de Bujumbura, une impasse protégée où on grandit parmi "des gens de maison", où vivait une classe moyenne privilégiée, couples mixtes, diplomates africains, vieux expatriés et où on va au Lycée Français. La guerre vient mettre fin à cet univers paisible et bouleverse l’enfance heureuse de Gabriel. C'est plus précisément le récit des deux années 1992 et 1994, pendant lesquelles le garçon, entre ses 10 et 12 ans, voit basculer son existence. De sa hauteur d’enfant, Gabriel s’interroge sur les "silences et les non-dits des uns, les sous-entendus et les prédictions des autres. Il y avait des fractures invisibles, des soupirs, des regards que je ne comprenais pas". Petit pays raconte la guerre mais aussi la découverte des identités ethniques, des assassinats, des déplacements et des conflits qui divisent la ville en "quartiers hutu" et "quartiers tutsi". Puis il y a la blessure de l’exil, celle de la séparation, les réfugiés et le génocide. "Le génocide est une marée noire, ceux qui ne s’y sont pas noyés sont mazoutés à vie |
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