Titre : |
le silence de mon père |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Doan Bui, Auteur |
Editeur : |
Paris [France] : L'iconoclaste |
Année de publication : |
2016 |
Importance : |
253 p |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Identité famille immigrée autobiographie secret de famille Exil |
Résumé : |
"Je ne sais rien de la blessure de mon père, arraché de son pays natal." Quand Doan Bui fait ce constat, il est trop tard. Son père "navigue en aphasie" à la suite d’un AVC et ses questions jamais posées se heurtent à un mur du silence. Elle ne s’est jamais intéressée à l’histoire du Vietnam. Un jour, pourtant, elle a besoin de partir sur les traces de son père en procédant comme pour n’importe quel article : grand reporter à L’Obs, elle a interviewé tant de migrants. Elle décide d’aller interroger ses proches, de la diaspora et du Vietnam. Ce n’est pas gagné : "Ma mère, écrit-elle, est d’une génération et d’une culture où l’on ne parle pas. Parler, c’est perdre la face." Les langues peu à peu se délient. Du Mans à Hanoi en passant par la préfecture de Paris où on la prend pour "une Chinoise sans papiers parquée dans un appartement ravioli", elle rassemble des bribes d’histoires, découvre des secrets. Une enquête intime, souvent drôle, menée au cœur de "la minorité la plus invisible des minorités visibles" |
le silence de mon père [texte imprimé] / Doan Bui, Auteur . - Paris [France] : L'iconoclaste, 2016 . - 253 p. Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Identité famille immigrée autobiographie secret de famille Exil |
Résumé : |
"Je ne sais rien de la blessure de mon père, arraché de son pays natal." Quand Doan Bui fait ce constat, il est trop tard. Son père "navigue en aphasie" à la suite d’un AVC et ses questions jamais posées se heurtent à un mur du silence. Elle ne s’est jamais intéressée à l’histoire du Vietnam. Un jour, pourtant, elle a besoin de partir sur les traces de son père en procédant comme pour n’importe quel article : grand reporter à L’Obs, elle a interviewé tant de migrants. Elle décide d’aller interroger ses proches, de la diaspora et du Vietnam. Ce n’est pas gagné : "Ma mère, écrit-elle, est d’une génération et d’une culture où l’on ne parle pas. Parler, c’est perdre la face." Les langues peu à peu se délient. Du Mans à Hanoi en passant par la préfecture de Paris où on la prend pour "une Chinoise sans papiers parquée dans un appartement ravioli", elle rassemble des bribes d’histoires, découvre des secrets. Une enquête intime, souvent drôle, menée au cœur de "la minorité la plus invisible des minorités visibles" |
|  |